La tour, prend garde !
Entre ateliers dans mon cabinet de reclassement, refonte du CV au format e-CV, recherche d'annonces, plan marketing, projet professionnel, je dois également prendre le temps de cibler quelques entreprises à contacter pour des candidatures spontanées.
Et c'est là que cela se corse car à part la localisation (Paris, Yvelines et Hauts-de-Seine), je n'ai pas vraiment d'idées sur les entreprises à contacter. Il y aurait bien l'effectif, je sais que je n'ai pas envie d'une petite entreprise. Une PME... cela dépend. Un grand groupe...il faut voir. Voilà qui ne m'avance guère.
Mais depuis cet après-midi, j'ai un autre critère.
Si possible pas dans une tour.
Le cabinet de reclassement se situe entre les 15e et 23e étages d'une tour sur le front de Seine et c'est une galère absolue aux heures de pointe. Il peut arriver d'être obligée d'attendre 1/4 heure avant de pouvoir monter dans un ascenseur. Quand un ascenseur est un panne et en réparation, ils sont obligés d'arrêter celui d'à-côté. Et le pompon, cet après-midi lorsqu'en sortant de mon groupe de suivi de recherche hebdomadaire au 23ème étage, je me suis rendue compte que les ascenseurs ne fonctionnaient pas. Les escaliers sont fermés en temps normal, mais j'ai croisé une femme qui m'a montré où c'était. Nous avons alors rencontré quelqu'un qui nous a dit qu'au 15ème on pouvait reprendre les ascenseurs. Me voilà donc descendant 8 étages à pieds, talonnée par 2 consultants très en retard pour un rendez-vous.
Sauf que les portes donnant sur le 15ème étaient fermées, que nous avons tapé pour qu'on nous ouvre, que le gars qui nous a ouvert nous a dit que cela faisait 2 heures qu'il passait son temps à se lever pour ouvrir la porte et qu'on serait bien gentil d'alerter l'accueil pour faire quelque chose, ce que nous avons fait une fois sur la terre ferme.
Définitivement un peu claustrophobe, voilà un critère à ne pas négliger lors de ma recherche !